Mohamed Sifaoui . Un journaliste qui jubile à chaque invitation sur un plateau télé ?
Invité sur le plateau de C' dans l' aire pour parler de la visite du president François Hollande en Algerie
" Mohamed Sifaoui " s' en est une nouvelle fois prit à la communauté musulmane en disant :
« Le pire dans tout ça, ce n’est pas juste un problème de langue. C’est un problème de corpus idéologique qui suit la langue. Avec le français, on a accès aux Lumières, avec l’arabe aujourd’hui, pardon, on a accès à l’obscurantisme, islamiste le plus souvent.»
Mohamed Sifaoui qui est souvent invité sur les plateaux de télévisions contribue lui aussi à répandre cette politique raciste islamophobe dont la médiatisation à outrance tend à installer dans le pays un climat d' exacerbation anti musulman .
Dans l' un de ces Pamplet Anti " Mohamed Sifaoui " Karim Sarroub nous disait déjà ce qui suit :
Le degré zéro du journalisme ?
Mohamed Sifaoui demande - et obtient - l’asile politique en France en 1995 car à cette époque, comme nous le savons, la guerre civile bat son plein en Algérie. On lit ici ou là qu’il s’était fait remarquer par ses écrits sur la situation sécuritaire algérienne. Il faut savoir que l’information sécuritaire étant frappée, durant cette « sale guerre », du sceau de la confidentialité, seuls les journalistes qui acceptaient de s’approcher des services de sécurité pouvaient traiter le sujet. Mais Mohamed Sifaoui voulait aller plus loin. Il faisait des pieds et des mains pour se faire recruter par tous les services secrets de renseignements militaires. Il essayait de rentrer par les fenêtres quand les portes étaient fermées. Malheureusement, sa candidature, qui allait lui permettre d’infiltrer des "islamistes" (autant dire à l’époque 83 % des Algériens), lui aurait été refusée pour cause d’instabilité. Il confondait déjà, sans vergogne, son rôle de journaliste avec celui d’agent secret. Sur sa fiche, il serait écrit « élément très entreprenant, instable et versatile. »
Humilié et aigri par cette mauvaise expérience, il se retourne contre ses manipulateurs. Il met à profit ses déboires avec les services de la sécurité militaire pour demander l’asile politique en France. Bien qu’aucune trace n’existe où il aurait signé le moindre article contre le régime du temps où il exerçait en Algérie, il est accueilli par l’organisation Reporters sans frontières qui met à sa disposition un bureau et un micro-ordinateur.
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