Imprimante 3D
OLO : l'imprimante 3D pour... smartphone
OLO est un projet de financement participatif qui vise à créer la première imprimante 3D pour smartphone. Facile à transporter, il pèse exactement 780 grammes. De plus, avec une dimension de 172 x 115 x 148 millimètres, l’appareil n’est pas encombrant. Grâce à cette configuration, cette imprimante 3D pour smartphone offre une surface d’impression estimée à 400 cm3.
Au sein de l’application dédiée, on sélectionne l’objet qu’on désire imprimer. Ensuite, on place la résine dans l’appareil, différentes couleurs et textures sont disponibles. Enfin, on insère son smartphone et on ferme le couvercle. Il ne reste plus qu’à attendre la fin de l’impression. Cette mini-imprimante fonctionne avec tous les téléphones et les différents systèmes d’exploitation mobiles. De plus, OLO accepte aussi les autres applications et les logiciels de conception 3D. Par ailleurs, on peut envoyer un message 3D, prêt à imprimer.
Démocratiser l’impression 3D, le concept séduit
Aujourd’hui, au niveau mondial, le nombre de smartphones en circulation dépasse le milliard. Autant de cibles potentielles pour cette mini-imprimante en trois dimensions. Ainsi, Solido3D a gagné le prix de l’« Editor choice » lors du New York World Maker Faire en septembre 2015. Pour l’instant, les concepteurs ont réussi leur pari. Alors que leur campagne de financement participatif n’est pas encore terminée, ils ont déjà obtenu plus de 1.600.000 dollars, 20 fois supérieures à l’objectif fixé.
Parmi les différentes options proposées, les contributeurs pourront acquérir un OLO et deux bouteilles de résine au prix de 99 dollars.
Moteur à réaction d' avion fabriqué en imprimante 3D
Les ingénieurs de General Electric démontrent une nouvelle fois leur savoir-faire dans le domaine de la construction de moteurs pour aéronefs. Ils ont conçu et assemblé un mini-moteur à réaction dont les pièces ont été imprimées en trois dimensions.
Avec ce projet, le laboratoire de R&D de General Electric, souhaite explorer les capacités de l’impression 3D et préparer l’avenir de la construction aéronautique.
Ce mini-moteur à réaction mesure 30 centimètres de long pour 20 centimètres de hauteur.
Il ne s’agit pas du premier moteur à réaction imprimé en 3D mais ce mini-réacteur d’avion fonctionnel rugit à 33 000 tours par minutes.
Traditionnellement, les pièces de moteur sont usinées à partir de gros blocs de métal pour arriver à une forme bien définie.
Ici, les ingénieurs ont utilisé la technique d’impression 3D par frittage laser. Cette technique consiste à fusionner, par laser, des couches fines de poudre de métal les unes par dessus les autres. Ceci afin d’obtenir une pièce métallique complète avec moins de déchets. Cette solution permettrait également de fabriquer des pièces plus complexes et d’optimiser les processus de fabrication.
L' Oréal veut recourir à l' impression 3D de peau pour tester ses produits
Ci - dessus L’impulsion laser (en bleue) est dirigée à l’aide d’un miroir sur une cartouche d’encre cellulaire. Celle-ci est composée d’une plaque de verre sur laquelle est étalée un amalgame de cellules. En frappant la surface de la cartouche, le laser provoque la formation de gouttelettes comprenant chacune entre 1 et 50 cellules.
L’Oréal vient de nouer un partenariat avec une société américaine pour imprimer de la peau synthétique et ainsi pallier ses énormes besoins en tests dermatologiques.
En 2013, la Commission Européenne avait promulgué une loi interdisant les expérimentations animales pour l’industrie cosmétique. Depuis, les entreprises comme L’Oréal doivent recourir à des solutions alternatives. Pour tester les produits, le groupe français emploie dans son laboratoire à Lyon 60 scientifiques produisant 100 000 échantillons de peau par an, issus de la chirurgie esthétique. Cependant, cette option est à priori trop lente pour un groupe de cette envergure. La société vient donc de nouer un partenariat avec la start-up américaine Organovo afin de recourir à l’impression 3D de peau et de remédier à ce problème.
L’entreprise américaine, créée en 2007, intéresse de plus en plus de laboratoires cosmétiques, mais aussi pharmaceutiques comme Pfizer. En effet, Organovo est capable de produire différents tissus organiques via l’impression 3D : ceux du foie, des poumons, des vaisseaux sanguins, des os, etc.
À noter que l’Inserm avait également réussi à développer cette technologie il y a un peu plus de 6 mois, en partenariat avec l’entreprise Poietis, près de Bordeaux.
Une imprimante 3D qui fabrique un pont ?
Le procédé est simple. Un robot soudeur vient déposer un point de soudure à l’arc sur une plaque métallique et le laisse refroidir, puis il dépose un deuxième point sur le premier et le laisse refroidir, puis un troisième sur le deuxième et ainsi de suite en suivant une trajectoire programmée. Il construit ainsi point après point une ‘‘ligne’’ dans l’espace suivant une trajectoire définie.
Bien que ce procédé soit anodin , il inaugure ce que pourrait être la colonisation de la planète MARS . Une multitude de robots dont la programmation consistera à assembler les élemants d' une infrastructure qui servira de base aux premiers arrivants .
Bien entendu , des hommes devront accompagné toute cette robotique l' a programmé puis revenir sur terre . Les robots equipés de camera seraient suivi depuis la terre .
L' evolution des imprimante 3D , permettra la conception de toute sortes d' edifice a distance .